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Monsieur
LABORIE André
Le 31 août 2009
N° 2 rue de la Forge
31650 Saint Orens.
Tél :
06-14-29-21-74.
Mail : laboriandr@yahoo.fr
PS :
« Actuellement le courrier
est transféré poste restante suite à la violation du domicile en date du 27
mars 2008 » domicile actuellement occupé par un tiers usant de faux et
usage de faux dont Monsieur le Procureur Michel VALET est saisi d’une plainte
en date du 6 mars 2009 à ce jour toujours restée sans réponse ainsi que plainte
avec constitution de partie civile déposée le 11 juin 2009 à Monsieur le Doyen
des juge d’instruction au T.G.I de Toulouse restée encore à ce jour sans réponse.
Madame ALLIOT Marie
Ministre
de la Justice.
13
place Vendôme
75000 PARIS
Objet : Demande de la saisine de l’inspection des services
judiciaires et du conseil supérieur de la Magistrature dans les intérêts de
Monsieur et Madame LABORIE et d’une bonne administration de la justice, «
pour trouble manifestement graves et d’ordre public ».
PS : Courrier
envoyé en lettre recommandé à Monsieur SARKOZY Président de la république
pour information.
Ministre de la Justice : FAX : 01-44-77-60-00
Lettre recommandée N° 1 A 032 483 6896 3
Je sollicite
votre très haute bienveillance aux
faits que je vous expose à prendre en considération.
Je suis
victime ainsi que ma famille d’un excès de pouvoir, abus d’autorité caractérisé
des autorités Toulousaines agissant dans le cadre de leurs fonctions profitant
de leurs irresponsabilités personnelles de Magistrats pour nous porter préjudices
dans nos intérêts, dans notre vie sociale et économique depuis de nombreuses
années et qui porte aussi préjudices à notre institution judiciaire par l’obstacle
à l’accés à un tribunal et par l’absence d’un quelconque
débat contradictoire pour trancher des litiges qui nous opposent.
Que l’état Français en est responsable de ce dysfonctionnement
mis en place volontairement par ces autorités judiciaires principalement Toulousaines
ainsi qu’à la cour de cassation par le refus systématique de l’octoi à l’aide juridictionnelle dans la situation financière
que nous sommes, nous privant de toutes défenses par avocats et de tout enrôlement
de pourvois en cassation autant en matière pénale que civile et administrative
devant le conseil d’état.
Sur les problèmes rencontrés depuis de nombreuses années:
Que Monsieur
LABORIE André a rencontré de nombreux problèmes et que pour les résoudre il
a saisi la justice ce qui est de droit.
Que les
débuts de ces problèmes devant cette juridiction sont intervenus
à partir de 1990, 1991 après avoir saisi la brigade financière de Toulouse
contre un intermédiaire financier Monsieur HOUDAYER Alain dont son conseil
était Maître COHEN Avocat à Toulouse et pour violation à l’ordre public en
matière de prêt à la consommation.
Que cette
personne, Monsieur HOUDAYER a été mis en examen et écroué après que de nombreuses
victimes soient découvertes par la brigade financière de Toulouse.
Que le jour
ou cette personne a été libérée, le soir même à 22 heures après mon travail
au centre hospitalier de Toulouse Rangueil
ou j’exerçais l’activité professionnelle d’électricien, je rentrais à mon
domicile au N° 2 rue de la forge 31650 à Saint Orens.
Qu’après
avoir garé mon véhicule devant celui de mon épouse dans l’allée du garage
de notre propriété, peu de temps après étant dans le lit, des coups de fusils
ont retentis dans le lotissement autour de notre propriété.
Ce n’est
qu’au petit matin en se levant que nous avons remarqué que nos deux véhicules
ont été criblés de plombs de chevrotines dans la carrosserie, brisant les
pare-brises de nos deux voitures.
Que ces
dégâts importants ont été pris en charge par nos assurances.
Immédiatement
le lendemain j’ai fait constater par la gendarmerie de Saint Orens
de Gameville de ces états de faits.
Je suis
intervenu aussi auprès de la brigade financière de Toulouse pour savoir si
un lien pouvait exister par l’arrestation de Monsieur HOUDAHER Alain.
Comme par
hasard, Monsieur HOUDAYER a été libéré quelques heures avant les coups de
chevrotines tirés sur nos véhicules.
Que ces
faits je les ai toujours considérés de criminels avec préméditation pour m’avoir
attendu et surveillé à l’heure ou je rentrai à mon domicile.
N’ayant
rien à se reprocher je m’en ai remis à la justice et j’ai fait confiance à
celle-ci.
Qu’à cette
époque là j’étais un assidu des marchés financiers et investissais en bourse
en ses produits spéculatifs.
Y a-t-il
un lien à ces coups de fusils ?.
Une question
s’est toujours posée dans mes esprits ;
pourquoi je n’ai jamais été entendu par les autorités judiciaires,
par la gendarmerie et pourquoi je n’ai jamais été informé des enquêtes qui
a pu être faites.
J’ai assisté
au procès peu de temps après de Monsieur HOUDAYER Alain, ce dernier ayant
été condamné à de la prison et à indemniser ses victimes dont moi même pour
des sommes qui n’ont jamais pu être recouvertes.
Suite a
cette difficulté rencontrée contre cet intermédiaire financier, à la recherche
d’argent par un prêt j’ai été mis en contact par un notaire pour obtenir un
prêt en Allemagne « la Commerzbank » qui n’est qu’une filière du
crédit Lyonnais établissement Français appartenant cet état.
Qu’un emprunt
a été effectué en toute confiance à cette banque, ce n’est que quelque mois
après que j’ai découvert que nous avons été escroqué pour violation des régles
d’ordre public, « la cour d’appel de toulouse en 1996 a
ordonné l’annulation du prêt ».
Qu’une partie
des fonds a été versé sur un compte de la société de bourse FERRI et qui me
permettait d’investir sur les marchés financiers à fort levier.
Soit une
somme importante détournée de 266.679
euros depuis juillet 1992.
Que je n’ai
pu encore à ce jour récupéré ces sommes d’argents que j’évalue à plus de 1 million d’euros, intérêts plus
réparation des préjudices.
J’ai rencontré tous les obstacles
possibles et imaginables à me faire entendre, à ce jour les causes ne sont
toujours pas entendue par manque de moyen de défense,
obstacle à l’aide juridictionnelle et à l’obtention d’un avocat à ce titre.
Que les
autorités toulousaines ont été saisis du dossier
par plainte déposée au doyen des juges d’instruction, à Monsieur le Procureur
de la République contre la société de Bourse FERRI cette dernière située en
un de ses bureaux à Toulouse place WILSON.
Démuni de
ces sommes importantes et indûment
détournées, j’ai été contraint d’arrêter tous les prélèvements automatiques
de certains organismes financiers qui ne respectaient pas les engagements
pris sur mes comptes bancaires.
Que ces
organismes financiers à tour de rôle
ont inscrit un fichage à la banque de France, ont saisi le tribunal pour obtenir
des jugements en premier ressort, ont pris des mesures provisoires de conservation
sans respecter une quelconque procédure contradictoire par faux et usage de
faux apportés dans le seul but de nuire aux intérêts de Monsieur et Madame
LABORIE ces derniers victimes de la société de bourse FERRI par le détournement
indu et par fraude de la somme de 266.679 euros.
Que ces
organismes financiers ont obtenu des jugements qui n’ont jamais été signifiés
aux époux LABORIE les privant des voies de recours, leur permettant de les
mettre en exécution en violation des régles de droit
par de nouveaux actes entachés de faux et tout en sachant que Monsieur et
Madame LABORIE étaient victimes de ces banques sans débat contradictoire.
Que les
conseils «
avocats » sont les auteurs de ces malversations agissant pour
leur clientes et pour obtenir par faux et usage de faux des
décisions de justices.
Que certains
avocats ont effectué des saisies sur salaires en violation des règles du code
du travail en matière de saisie rémunération « d’ordre public »
sans aucune audience de conciliation permettant
d’obtenir des décisions du juge des saisies sur salaire sur des sommes
importantes en violation de toutes les règles de droit et profitant de ce
dysfonctionnement pour imposer au greffe du T.I des sommes à recouvrir qui
n’étaient pas dues, très certainement par corruption active ou passive en
profitant et réitérant les demandes pour encore une fois obtenir des ordonnances
aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE.
Que le Magistrat
qui a agi ainsi est Madame BOREL Elisabeth en pleine période ou elle a perdu
son époux Magistrat.
Que Monsieur
et Madame LABORIE ont subi le contre coup de Madame BORREL pour avoir subis
une telle procédure irrégulière en matière de saisie rémunération.
Que le tribunal
d’instance de Toulouse a détourné aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE
et sur les salaires de Madame LABORIE de fortes sommes d’argent mensuellement.
Que ce dérournement
est suite à des ordonnances irrégulières pour un montant de 467.275,33 euros rendues sans une audience de concillation et par faux et usage de fausses informations
produites par les conseils des personnes morales ou physiques qui se sont
prétendues créancières, que ces conseils sont des avocats toulousains agissant
en toute impunité.
C’est à
parti de ces états de faits délictueux et pouvant être considéré de criminels
que de nombreux procés se sont engagés.
Que Monsieur
et Madame LABORIE se sont vu contraint de se défendre en justice.
Que dans
cette configuration en l’absence d’avocat de nombreuses décisions défavorables
ont été rendues par faux et usage de faux pour faire obstacle à nos demandes.
Que les
voies de recours n’ont pu être saisie par le refus systématique de l’aide
juridictionnelle alors que nous étions victimes de détournement de fonds importants.
De nombreuses
plaintes ont été déposées et à chaque fois des moyens
discriminatoires mis en place par une consignation dans le seul but de faire
obstacle aux procédures.
Jurisprudences :
Cour d’Appel de PARIS du 20 janvier
1999, 1 ère Chambre.
Toute personne ayant soumis une contestation
à un Tribunal a droit à ce que sa cause soit entendue.
La méconnaissance de ce droit, constitutive
d’un déni de justice au sens de
l’article L.781-1 COJ, oblige l’ETAT à réparer le
dommage causé par le fonctionnement défectueux du service de la justice.
Des lors, le préjudice subi par l’Appelant, devra être réparé.
La Cour Européenne des Droits de l’Homme
du 30 juillet 1998 a statué :
Le bureau d’aide juridictionnelle n’a pas
à apprécier les chances du succès du dossier.
Des lors, en rejetant la demande d’aide judiciaire au motif que la prétention
ne paraît pas actuellement juste, le bureau d’assistance judiciaire a porté atteinte à la substance même du droit
à un Tribunal du requérant.
Cour Européenne des Droits de
l’Homme du 28 octobre 1998.
La plainte dans laquelle une personne fait
expressément état du préjudice de caractère financier causé par les faits
allégués, puisqu’il estime avoir été ruiné en raison d’un délit commis à son
encontre, porte sur un droit de caractère civil.
Cette plainte visant à déclencher des poursuites judiciaires afin d’obtenir,
indemnisation du préjudice financier, l’issue de la procédure est déterminante
au fin de l’article, 6, paragraphe 1, de la Convention EDH pour l’établissement
du droit a réparation du requérant.
La Cour, a estimé qu’une somme fixée par le Doyen des Juges, « ou le tribunal » sachant que les ressources financières du requérant
était absente, et que le bureau d’aide juridictionnelle, n’est pas venu en
aide, exiger du requérant
le versement d’une somme, revenant en pratique à le priver de son recours devant le juge, conclu
qu’il a ainsi été porté atteinte au droit d’accès du requérant à un Tribunal
au sens de l’article 6, paragraphe 1 de la Convention, EDH.
Tribunal de Grande Instance de
PARIS du 5 novembre 1997, 1 ère Chambre.
Il faut entendre par déni de justice
non seulement le refus de répondre aux requêtes ou le fait de négliger de
juger les affaires en état de l’être, mais aussi, plus largement, tout
manquement de l’état a son devoir de protection juridictionnelle de l’individu
qui comprend le droit pour tout justiciable de voir statuer sur ses prétentions.
Les principes généraux du droit communautaire
L'article
13 de la Convention pose le principe, pour les personnes,
du droit à un recours effectif devant une instance nationale lorsqu'il
y a violation des droits et libertés reconnus, même si cette violation est
le fait de "personnes agissant dans l'exercice de leurs fonctions
officielles".
L'article 14 interdit
toute forme de discrimination quant à la jouissance de ces droits et libertés,
discrimination "fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la
langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l'origine
nationale ou sociale, l'appartenance à une minorité nationale, la fortune,
la naissance ou toute autre situation".
Que la juridiction toulousaine,
et la cour de cassation ont ignoré les textes ci-dessus portant préjudices
aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE.
Que Monsieur
LABORIE pour les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE a diligenté de nombreux
procés en correctionnel par voie d’action contre certains
Magistrats, avocats, huissiers de justices qui ont participés directement
ou indirectement aux différents obstacles à l’accés
à un tribunal et aux différentes décisions inscrites en faux en écritures
publiques.
Que Monsieur
LANSAC substitut de Monsieur le Procureur de la république à toulouse
dont il exerce encore à ce jour est le principal acteur de nos difficultés,
il est rappelé que ce magistrat avait de nombreux problèmes psychologiques
et suivait un fort traitement.
C’est le
magistrat qui a péter un plomb pour avoir tenté de libérer des prisonniers
à la maison d’arrêt de MURET 31 HG, termes repris par sa hierarchie
Toulousaine dans la dépêche du midi.
Voilà encore
une fois d’un tel magistrat ou Monsieur LABORIE s’est trouvé victime. «
escequ’il a été employé pour
ma cause ou par un pur hazard ?
En 1998
Monsieur LANSAC a ordonné à la gendarmerie de Saint Orens
de me faire comparaître en audience correctionnelle pour avoir refusé de remettre
un permis de conduire de droit espagnol pour un permis de conduire français,
ce qui m’a valu une condamnation alors qu’il n’existait à cette époque aucune
réglementation, celle-ci est intervenue qu’en son décrêt
applicable soit en mars 1999, jugé sans défense, sans pièce de procédure le
20 décembre 1998.
Que la juridiction
toulousaine à la demande de Monsieur LANSAC a poursuivi en l’an 1998 Monsieur
LABORIE André profitant de la violation de ses droits de défense pour ordonner
des condamnations à de la prison ferme en violation d’un quelconque débat
contradictoire et en l’absence de pièces
de procédure, violation des article 6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH et
pour des fait de travail clandestin alors qu’il était déclaré au services
fiscaux et aux organismes de droit et qu’il était en règle.
Que la juridiction
toulousaine à la demande de Monsieur LANSAC a poursuivi en l’an 2000 Monsieur
LABORIE André pour des faits de 1995 ; 1996 bien
sur qui ne peuvent exister et par la prescription triénale.
Qu’au vu
de ces agissements abusifs de Monsieur LANSAC Alain substitut de monsieur
le Procureur de la république de Toulouse, Monsieur LABORIE André a diligenté
une procédure correctionnelle à son encontre, et saisissant le tribunal statuant
en matière de référé pour obtenir des pièces de dossiers dont t’il s’opposer
à remettre. ( son conseil Maître COHEN)
Que Monsieur
LANSAC Substitut de Monsieur le Procureur de la République est venu m’harceler
à mon domicile en mai juin 2002 pour que j’enlève les différentes plaintes.
Que Monsieur
LABORIE André lors d’un procés en référé le 17 octobre
2001 et à l’encontre de Monsieur IGNIACIO avocat général à la cour d’appel
de Toulouse, ce dernier assigné pour obtenir des mesures provisoires à son
encontre devant Monsieur le Président statuant en matière de référé et suite
aux différents obstacles mis en place pour faire obstacle à mes plaintes déposées
devant le juge de l’instruction, il a été enlevé en pleine audience par la gendarmerie de Saint Orens dans le seul but de faire obstacle au procés et biensur à la demande de
Monsieur IGNIACIO absent à l’audience et non représenté.
Que le procés
à cette audience n’a pu avoir lieu, Monsieur LABORIE André a été mis en prison
au prétexte d’une condamnation de l’an 2000 suite aux poursuites faites par
Monsieur LANSAC dont la cour de cassation n’est pas intervenue par l’absence
de l’aide juridictionnelle refusée systématiquement pour casser un arrêt de
la cour d’appel de Montpellier rendu en violation de tous les droits de défense
et par faux et usage de faux intellectuels sur des faits reprochés innexistants.
Que pendant
cette incarcération abusive du 17 octobre 2001 au 10 octobre 2002, tous les
dossiers en cours devant la juridiction toulousaines et à la cour de cassation
ont fait l’objet d’un obstacle et tous mis au panier par un juge d’instruction
toulousain et pour que les causes de Monsieur LABORIE andré
ne soient pas entendues devant un tribunal aux préjudices de Monsieur et Madame
LABORIE et sous couvert de tous les membres de la chambre de l’instruction
à la cour d’appel de Toulouse.
Qu’à
la sortie de prison soit en octobre 2002, Monsieur LABORIE André dans
la configuration financière ou il se trouvait, demandeur d’emploi, séparé
de fait de son épouse suite au différents problèmes rencontrés, au RMI a obtenu
l’aide juridictionnelle et a pu obtenir un avocat par l’intermédiaire d’un
proche ami.
Qu’immédiatement
les autorités Toulousaines ont essayé de le mettre sous tutelle pour faire
obstacle à l’accés à un tribunal et pour le priver de la gestion de ses
affaires et pour continuer à lui porter préjudices dans ses droits de défense
alors qu’il n’était atteint d’aucune maladie mentale et autres.
Qu’après
un dur combat, justifiant par expertise qu’il n’était atteint d’aucune incapacité,
la mise sous tutelle de Monsieur LABORIE n’a pas eu lieu.
Que d’autres
moyens ont été mis immédiatement en place par les autorités toulousaines pour
faire obstacle aux droits de défense de Monsieur LABORIE et à l’accés
à un tribunal.
Que les
autorités toulousaines sachant que Monsieur LABORIE André avait un avocat
au titre de l’aide juridictionnelle en sortant de prison, « Maître SERRE
de ROCH » celui-ci a eu de nombreuses pressions par l’ordre des avocats
et par les autorités pour ne pas qu’il le défendre et suite à des décisions
favorables rendues à la cour d’appel de toulouse
en son bon Magistrat Monsieur SELMES et contre plusieurs Magistrats poursuivis
dont un obstacle avait été mis en place « la consignation » :
Que la cour
d’appel en 2003 en ses décisions prises avait reconnu de l’absence de revenu
de Monsieur LABORIE André, et qu’au vu du refus de l’aide juridictionnelle,
que le tribunal aurait du ordonner seulement qu’une consignation symbolique
à un euro dans les procédures par voies d’actions engagées contre certaines
autorités.
Que ces
autorités qui se sont vu débouter par Monsieur SELMES président de la chambre
correctionnelle à la cour d’appel de toulouse de
la demande de consignation à l’euros symbolique se sont manifestés à trouver
un nouveau obstacle à mettre fin aux actions en justice engagées par Monsieur
LABORIE André et en complot de plusieurs autorités.
Qu’il est
a signaler que peu de temps après Monsieur SELMES n’exerçait plus en tant
que président devant la chambre correctionnelle de la cour d’appel ?,
il a été muté sur une chambre commerciale.
Que les
autorités toulousaines ont trouvé un autre moyen de poursuivre Monsieur LABORIE
André et de l’incarcérer du 14 février 2006 au 14 septembre 2007 aux prétextes
qu’il avait fraudé à l’obtention du RMI, à l’aide juridictionnelle, ce qui
est entièrement faux, ils ont simulés un outrage à
Greffière à la chambre des criées par faux et usage de faux pour l’exclure
d’une procédure de saisie immobilière embarrassante, d’un exercice illégal
à la profession d’avocat par faux et usage de faux et par plainte déposée
de l’ordre des avocats, ils ont inventés des parties civiles par faux et usage
de faux dans la procédure et qu’elles n’ont jamais été convoquées, ils ont fait pression au tribunal
par corruption d’éléments extérieurs aux poursuites irrégulières, en produisant
devant le tribunal les procédures diligentées contre certains magistrats extérieurs
aux faits poursuivis dans le seul but de le faire condamner et de s’en débarrasser.
Agissements
dans le seul but de porter préjudices à Monsieur LABORIE André pour l’incarcérer
et évidament à toute sa famille dans leurs intérêts, faisant obstacle une nouvelle fois aux différents
dossiers en cours.
Que l’instigateur
a cette procédure préméditée était Monsieur THEVENOT François agissant en
tant que substitut de Monsieur le Procureur de la République de Toulouse.
Que Monsieur
LABORIE André a fait donc l’objet d’une comparution immédiate pour le priver
de tous ses droits de défense sur les faits poursuivis et l’incarcéré du 14
février 2006 au 14 septembre 2007 en violation de toutes les régles
de droit.
Alors que
Monsieur André LABORIE avait demandé le renvoi pour y être jugé, en attente
d’un avocat extérieur au barreau de Toulouse suite à la plainte déposée par
l’ordre des avocats, en attente des pièces de la procédure pour préparer sa
défense, en attente d’une décision de la cour de cassation concernant une
requête en suspicion légitime de toute la juridiction toulousaine avec la
demande de l’effet suspensif :
Le tribunal
sans son accord a jugé Monsieur LABORIE André en violation de toutes les régles
de droit à 2 années de prison et après avoir demandé comme ci-dessus le renvoi
et sa mise en liberté immédiate pour préparer sa défense.
Que pendant
cette période d’incarcération considérée de prise d’otage avec préméditation
toutes les voies de recours n’ont pu être entendues contradictoirement avec
les moyens de défense effectifs et par
un obstacle systématique de l’aide juridictionnelle pour obtenir un avocat
et par le refus systématique de libération pour préparer sa défense et tout
en sachant d’un refus de l’obtention des pièces de la procédure dont Monsieur
LABORIE était poursuivis.
Que Monsieur
LABORIE André a été jugé par les magistrats qu’il poursuivait juridiquement
devant la juriciction toulousaine autant devant le tribunal que devant
la cour d’appel et quand bien même devant la cour d’appel ils ont été récusés
conformément à la loi par requête régulièrement déposée à Monsieur le Premier
Président de la cour en son audience du 30 mai 2006.
Que la cour
de cassation s’est refusé de connaître des pourvois enregistrés à la demande de
Monsieur LABORIE André sur l’arrêt du 14 juin 2006 ainsi que sur tous les
arrêts concernant les demandes de libertés toutes refusées.
Que la cour
de cassation s’est refusé de connaître du pourvoi enregistrés à la demande
de Monsieur LABORIE André contre un arrêt de la cour d’appel rendu le 14 juin
2006 condamnant Monsieur LABORIE à deux années de prison, rendu en violation
de tous les droits de défense en ses articles 6 ; 6-1 ; 6-3 de la
CEDH et 802 du ncpp.
Que Monsieur
LABORIE André dans la configuration ou il se trouvait
s’est vu refuser toutes les demandes d’aides juridictionnelles pour obtenir
un avocat à la cour de cassation identique que devant la cour d’appel de toulouse
et que devant le tribunal de grande instance de Toulouse.
Qu’à ce
jour ou l’inspection des service judiciaire est saisi, les voies de recours enregistrées
par les services de la justice ne sont toujours pas entendues par un
tribunal alors que Monsieur LABORIE a consommé la condamnation à deux années
de prison.
Ces voies de recours sont les suivantes :
Appel du
jugement du 14 février 2006.
Opposition
du jugement du 14 février 2006 par les parties civiles « fabriquées ».
Opposition
de l’arrêt du 14 juin 2006 rendu par la cour d’appel de Toulouse sans la présence
de Monsieur LABORIE , sans la présence de son avocat, sans les pièces de la
procédure, en présence d’un acte de récusation de la cour déposé à Monsieur
le Président avant l’ouverture de son audience du 30 mai 2006, et en rappelant
que Monsieur le Président a rendu son ordonnance que le 19 juin 2006 sur la
demande de récusation et que Monsieur LABORIE André ainsi que son avocat parisien
avaient demandé le renvoi pour préparer la défense conformément en ses articles
6 : 6-1 ; 6-3 de la CEDH.
Pourvoi
en cassation contre l’arrêt du 14 juin 2006.
Que par
l’absence de ses voies de recours et de son déroulement de cette prise d’otage,
la détention subie par Monsieur LABORIE André de la période du 14 février
2006 au 14 septembre 2007 est bien arbitraire.
Que pendant
cette prise d’otage et par une action préméditée des autorités toulousaines
elles se sont permises d’accepter le détournement de la propriété de Monsieur
et Madame LABORIE située au N° 2 rue de la Forge 31650 à Saint Orens,
par une vente aux enchères en violation des article 14 ; 15 ; 16 du
cpc, de l’article 2215 du code civil, de l’article 6 ;
6-1 ; et 6-3 de la CEDH.
Que l’intention
des autorités Toulousaines à nuire aux intérêts de Monsieur LABORIE André
et à sa famille est carractérisée pour avoir fait
obstacles aux différentes demandes pour l’octroi d’un avocat obligatoire en
matière de vente aux enchères privant Monsieur André LABORIE de déposer un
dire en contestation avant l’audience des enchères.
Que cette
procédure de saisie immobilières faites en l’absence d’un quelconque débat
contradictoire, absence de pièces de procédures, avec faux et usage de faux
en écritures privées et publiques porte préjudices aux intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE.
Qu’après
cette vente aux enchères et après que les autorités Toulousaines saisies de
cette difficultée ont continué à faire obstacle
au intérêts de Monsieur et Madame LABORIE dans une procédure
d’expulsion qui s’est déroulée comme dans la procédure de saisie immobilière
sans pouvoir obtenir un avocat, sans pouvoir obtenir l’aide juridictionnelle,
sans moyen de défense et par faux et usage de faux fournis par les parties
adverses profitant de cette situation pour obtenir du tribunal d’instance
une ordonnance d’expulsion en date du 1er juin 2007.
Encore une
fois cette décision comme les précédentes a été rendue en violation des
article 14 ; 15 ; 16 du ncpc,
des articles 6 ; 6-1 ; de la CEDH.
Que de nombreuses
autorités, Magistrats, avocats, huissiers pouvaient que s’en réjouir de cette
situation d’extermination de Monsieur LABORIE André, se débarraser
en conséquence de tous les dossiers en cours à leur encontre.
Que toutes
ces décisions ont été mises en exécution en violation de toutes les régles
de droit en ses significations irrégulières et entachées de faux en écritures
publiques et dont les autorités toulousaines en étaient averties de cette
situation criminelle.
Que Monsieur
PAUL Michel Procureur de la République a cautionné toutes
cette situation criminelle ainsi que Monsieur DAVOST Patrice Procureur
Général à la Cour d’appel.
Ces autorités
ont été de nombreuses fois saisis par Monsieur LABORIE André dont les
courriers sont tous restés sans réponse, que les voies de recours restent
toujours à être entendues.
Que l’intention
de ces autorités Toulousaines est encore une fois confirmée a nuire aux intérêts
de Monsieur et Madame LABORIE car en sortant de prison soit le 14 septembre
2007.
Monsieur
LABORIE a saisi une nouvelle fois les autorités toulousaines, Procureur de
la République, Préfet, juge de l’exécution, huissiers de justice pour faire
valoir cette situation illégale et pour faire cesser la continuation de la
procédure aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE.
Qu’en date
du 27 mars 2008, sous couvert de Monsieur le Procureur de la république Michel
VALET , de Monsieur le Préfet de la HG, du juge de l’exécution Monsieur SERNY,
de la gendarmerie de Saint Orens et à la demande
de l’adjudicataire Madame D’ARAUJO épouse Suzette qui avait perdu sa propriété
par une action en résolution du jugement d’adjudication et qui avait obtenu
de nombreux actes par fausses informations portées au tribunal profitant de
l’incarcération de Monsieur LABORIE André, Monsieur et Madame LABORIE ont
été expulsés de leur propriété à sa demande de Madame BABILE alors quelle
ne peut tenir un quelconque titre valide.
Que le domicile
de Monsieur et Madame LABORIE a été violé sous le couvert de Monsieur VALET
Michel Procureur de la République à Toulouse, ce dernier qui reste à ce jour
sous silence pour faire encore une fois obstacle à ce que les auteurs ne soient
poursuivis devant la justice et surtout pour ne faire cesser ce trouble à
l’ordre public dont son victimes Monsieur et Madame LABORIE.
Que tous les meubles et objets appartenant à Monsieur
et Madame LABORIE ont tous été détournés par la SCP d’huissiers GARRIGUE &
BALUTEAU huissiers de justice sous le silence et sous couverture de Monsieur
VALET Michel Procureur de la Républiques sans notre concertation et mis dans
un entrepôt.
Que Monsieur
et Madame LABORIE sont a ce jour sans domicile fixe
et séparés de fait comme ils étaient au précédent.
Que ces
agissements volontaires ont été effectués sous couvert de
Monsieur le Procureur de la République Michel VALET pour mettre à terre Monsieur
et Madame LABORIE et à fin que ces derniers n’aient plus aucun moyen financier
et matériel à faire valoir leur droit en justice et pour ne pas que les auteurs
de ces délits et crimes ne soient recherchés en responsabilité.
Qu’il a
été dit par une greffière de la cour d’appel de Toulouse au cours de l’incarcération
de Monsieur LABORIE André que les Magistrats voulaient le traîner à terre,
ce qui touche à l’intégrité physiqque et morale
de Monsieur et Madame LABORIE, à leurs
intérêts.
Que l’intention
de ces autorités toulousaines d’avoir agir ainsi est carractérisée
encore à ce jour par les différents obstacles rencontrés dont la juridiction
toulousaine est saisie.
Elle se
refuse de statuer et se refuse à l’accés à un tribunal
de Monsieur et Madame LABORIE par des moyens dilatoires et discriminatoires
aux prétextes et à la demandes des avocats adverses qu’il est impossible de
signifier un quelconque acte au domicile de Monsieur LABORIE André « celui-ci
squatter encore à ce jour par un tiers dont Monsieur et Madame LABORIE revendiquent la propriété et le domicile».
Que se refus
de statuer au motif ci-dessus et contraire aux différentes décisions judiciaires
qui sont signifiées au domicile de Monsieur et Madame LABORIE soit au N° 2
rue de la Forge à Saint Orens et sur le fondement
de l’article 659 du ncpc.
Agissement
de ces autorités Toulousaines pour
que les demandes formulées par Monsieur LABORIE André agissant pour les intérêts
de la communauté ne soient entendues et surtout pour ne pas faire reconnaître
les graves erreurs volontaires prises des autorités qui ont ordonnés la détention
arbitraire de Monseiur LABORIE André, qui ont ordonné
le détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE, qui ont ordonné
l’expulsion manu-militari de Monsieur et Madame
LABORIE en date du 27 mars 2008 et pour mettre fin à ces derniers en recours
à leurs préjudices qui leurs sont causés et à leurs accés
à un tribunal pour que leur causes ne soient pas entendues.
Que toute cette procédure doit être
considérée de criminelle par le ministre de la justice.
Que l’intention
de Monsieur Michel VALET est carractérisée pour
ne pas vouloir donner suite aux diverses plaintes motivées avec preuves à
l’appuis de ces faits ci-dessus relatés.
Que toutes
les plaintes sont classées sans suite pour Monsieur le Procureur de la république
sans pouvoir identifier la personne qui classe systématiquement sans suite.
Qu’un complot
bien organisé se cache derrière ces faits criminels
Que l’excès
du parquet est carractérisé par toutes les preuves apportées par Monsieur
LABORIE André, même le doyen des juges d’instruction de toulouse
qui est saisi se refuse de répondre au plaintes avec constitution de partie
civile, même le doyen des juges d’instruction au tribunal de paris se refuse de répondre au plaintes
avec constitution de partie civile concernant la détention arbitraire subie
par Monsieur LABORIE André et de ses conséquences concernant le détournement
de la propriété et des suites aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE.
L’excés
du parquet représenté par Monsieur Michel VALET Procureur de la République
qui cautionne des procédures de saisies attributions faites sur le compte
bancaire de Madame LABORIE Suzette à la demande de la SCP d’huissiers VALES
GAUTIE PELISSOU en violation de toutes les régles
de droit alors que les saisies portent sur ses retraites considérées comme
salaires et contrairement au régles régissant la
matière de saisie rémunération « d’ordre public ».
Agissements
du parquet représenté par Monsieur Michel VALET Procureur de la République
et du juge de l’exécution « Monsieur SERNY » seul compétant en
matière de saisie attribution pour entendre les contestations, ce dernier
se refusant d’entendre les contestations pour annuler les saisies attribution
irrégulièrement effectuées et dans le seul but d’annéantir
financièrement Monsieur et Madame LABORIE alors qu’il est le seul compétant
en tant que juge de l’exécution sur le plan civil d’ordonner
la main lévée de ces saisies attributions irrégulières
sur la forme et sur le fond et que le parquet se doit de faire cesser ce trouble
à l’ordre public qui est exercé volontairement par la SCP d’huissiers VALES
GAUTIE PELISSOU sous couvert de ces autorités.
Que la cour
d’appel a été dernièrement saisie en son Premier Président
, celui-ci aussi se refuse de faire cesser ce trouble à l’ordre public
de déni de justice de certains magistrats qui se refusent d’ordonner des mesures
provisoires, qui se refuse de statuer sur le fond des demandes autant devant
le juge des référés que devant le juge de l’exécution et pourtant ayant la
compétance au vu de l’article
44 de l’Ordonnance n°58-1270 du 22 décembre
1958.
Situation profitant aux magistrats saisis à ne pas rendre la justice équitable, à ne pas statuer
aux demandes et pièces et conclusions régulièrement déposées et profitant
au vue d’une situation réelle de leur irresponsabilité.
Que dans ce contexte, le Ministre de la justice se doit
de garantir les droits des justiciables dont ces derniers sont victimes soit
Monsieur et Madame LABORIE.
Demandes
à Madame le Ministre de la justice :
De faire cesser ce trouble manifestement graves à l’ordre
public à l’accés à un tribunal et à fin que les causes soient entendues conformément
à la loi.
Demande d’enquête administrative en saisissant l’inspection
des services judiciaires à intervenir auprés de la juridiction toulousaine
et concernant les faits dont est victime Monsieur LABORIE André de cette prise
d’otage incarcéré de la période du 14 février 2006 au 14 septembre 2007 sans
que les voies de recours soient encore à ce jour entendues dont l’instigateur
du dossier est Monsieur THEVENOT François muté à GRENOBLE agissant et sous
couvert de Monsieur PAUL Michel Procureur de la République muté en CORSE et
sous la haute responsabilité de son Procureur Général Patrice DAVOST à la
cour d’appel de Toulouse.
Demande d’enquête administrative en saisissant l’inspection
des services judiciaires à intervenir auprés de la juridiction toulousaine
et concernant le détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE
André au N° 2 rue de la Forge à Saint Orens et de leur expulsion en date du
27 mars 2008.
Demande d’enquête administrative en saisissant l’inspection
des services judiciaires à intervenir auprés de la juridiction toulousaine
pour les différents obstacles à l’accés à un tribunal dans les dossiers en
cours, obstacle à l’aide juridictionnelle, obstacle par l’ordre des avocats
a régulariser des procédures avec obligation de représentation par avocats.
Demande d’enquête administrative en saisissant l’inspection
des services judiciaires à intervenir auprés de la juridiction toulousaine
suite que tous les magistrats saisis se refusent à statuer sur les demandes
provisoires autant en référé, que devant le juge de l’exécution, que devant
la cour d’appel en annulation du jugement d’adjudication rendu le 21 décembre
2006, sur l’appel de l’ordonnance d’expusion du 1er juin 2007,
que sur les saisies sur salaires irrégulières avec détournement de fond importants
au Tribunal d’instance de Toulouse, sur dossier FERRI devant la cour d’appel
et autres dossiers qui subissent le même sort dont la consignation a été versée.
Demande que soit saisi le conseil de la magistrature après
ou avant enquête pour faire cesser les agissements de certains magistrats
de la juridiction toulousaine et sur les différents obstacles
à l’accés à la cour de cassation.
Demande
à ce que l’inspection des services judiciaires fasse l’application stricte
et pour une bonne administration de la justice de l’article 44
de l’Ordonnance n°58-1270 du
22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature.
Article 44 En savoir plus sur cet article... version
consolidée au 9 décembre 2007
Modifié par Loi n°92-189 du 25 février 1992 - art. 38 JORF 29 février
1992
En
dehors de toute action disciplinaire, l'inspecteur général des services judiciaires,
les premiers présidents, les procureurs généraux et les directeurs ou chefs
de service à l'administration centrale ont le pouvoir de donner un avertissement
aux magistrats placés sous leur autorité.
Prendre
toutes mesures utiles « à préserver les intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE » à l’encontre de Monsieur Michel VALET Procureur
de la République qui en une dernière
audience devant Monsieur le Président statuant en matière de référé a agressé
verbalement Monsieur LABORIE André de prochaines représailles à son encontre
pour le fait de saisir régulièrement les autorités judiciaires.
Que Monsieur LABORIE André reste à la disposition de toutes
autorités judiciaires et administratives pour apporter toutes les preuves
utiles à la vérité dans les écrits ci dessus, dans les intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE et dans les intérêts d’une bonne administration de la justice.
Dans cette attente de la saisine de l’inspection des services
judicaires par Madame la Ministre de la justice ainsi que du conseil supérieur
de la Magistarture pour faire cesser ces troubles à l’ordre public dont sont
victimes Monsieur et Madame LABORIE ainsi que toute leur famille.
Dans cette attente,
je vous prie de croire Madame la Ministre de la justice à ma parfaite considération
et à mes respectueuses salutations.
Monsieur LABORIE André.